Page réalisée d’après les travaux d’élèves de Bac pro Secrétariat
Léonard de Vinci, c’est un personnage curieux de tout, qui a toujours voulu savoir, comprendre, dans tous les domaines : il avait un savoir « encyclopédique », c’est-à-dire dans tous les domaines, issu de toutes ses observations.
S’intéresser à tout, être curieux de tout…
Léonard de Vinci a rempli 25 000 pages de petits carnets d’observations, d’idées, de croquis : relevés anatomiques, étude du fonctionnement des plantes, croquis d’architecture, de machines, de moulins, de pompes,
idées qui lui venaient : ces carnets montrent que Vinci était un chercheur et un observateur curieux inépuisable….avec la perfection pour objectif.
Léonard de Vinci a acquis des compétences dans tous les domaines :
Peinture, sculpture, architecture, corps humain, étude des plantes, élaboration de machines, essai de machines volantes…
Léonard de Vinci l’inventeur
Léonard de Vinci a imaginé des centaines de machines, pour tous les usages possibles : voler, rouler, faire circuler de l’eau, transporter des charges lourdes, construire des monuments….
Le mouvement et la lumière…
Parce que rien n’est figé, que tout est en mouvement, 2 choses l’intéressaient beaucoup : le mouvement et la lumière.
« Regarde la lumière et admire sa beauté. Ferme l’œil et observe.
Ce que tu as vu d’abord n’est plus et ce que tu verras ensuite n’est pas encore »
En peinture, Léonard de Vinci a mis au point la technique du « clair-obscur » (ou «sfumato ») qui permet, grâce à un jeu subtil des lumières et des ombres, de rendre le mouvement et la lumière, et de créer une atmosphère calme, harmonieuse et mystérieuse.
« La peinture est poésie muette, la poésie est peinture aveugle »
« Il faut contempler, il faut penser : qui pense peu se trompe beaucoup. »
Pour Léonard, tout est mouvement : le mouvement est constitutif de la vie.
D’où son intérêt pour des visages non figés, pour des contours estompés ou des lumières fugitives en peinture, pour l’étude du vol des oiseaux, pour les machines, toujours en mouvement. Dans l’anatomie, dans la botanique, il cherche à capturer le mouvement qui est pour lui l’essence de la vie.
Le rêve de tout homme : voler.
Léonard a pour cela observé le vol des oiseaux, puis imaginé plusieurs machines volantes, cherchant à imiter mécaniquement les oiseaux.
La Joconde
Le succès de ce portrait vient du léger sourire de Mona Lisa, mais aussi de la technique de peinture employée (le « sfumato »), qui confère tant de mystère, de profondeur et de subtilité à ce portrait . Le sfumato est une technique qui consiste à mélanger les couleurs en superposant des couches de peinture d’une finesse incroyable, de façon à adoucir les formes et les contours, comme un voile de fumée.
La Joconde a été depuis très souvent copiée ou détournée.